CELEBRITE: emma watson. PSEUDO: blue bird. NOM&PRENOM(S): DELLHOW, poésy (rhéa) AGE&DATE DE NAISSANCE: 17 y.o, le 06/10 à Dublin. ORIGINAIRE DE: Dublin, IRLANDE. RÊVE DE: connaitre le désert australien. ETUDIANT(E) EN: littérature anglaise.
REPONDRE EN BREF CIGARETTES RUSSES ou JOINTS: la question est fumez vous ? Oui lorsque j'en ai envie, plus être dans l'esprit de la party qu'autres choses. Donc cigarettes mon brave. VILLE FETICHE: j'aurai tendance à vous dire l'Australie par excellence parce que j'affectionne beaucoup ce pays, néanmoins je vous direz Londres. GRIGRIS, PORTE-BONHEUR: un bracelet indien tressé en cuir brun, ainsi qu'une boucle d'oreille en forme de clef de sol, de vieux objets que je dois à mes grands parents. BOISSON INDISPENSABLE: la caféine, sans ce breuvage je ne vaux pas grands choses le matin au réveil, si je vaux vraiment quelques choses. En bref, j'en bois sous diverses formes, coca et tout le tsouin tsouin. POUR UNE SOIREE PARFAITE: un bon film entre amis, ou alors a boire un verre tout en faisant un boeuf et le tout en improvisation. SPORT ou SHOPPING: sport sans hésitation, c'est un domaine de prédilection. MODEL ou PHOTOGRAPHE: vous m'avez bien regardé ? J'ai l'air d'être un modèle ? Bien alors la seconde option est pour moi. INSTRUMENTS DE MUSIQUE: violon et piano. PASSION, PASSE-TEMPS: théatre - écriture - composer - faire du vélo - mon violon et vivre la vie sans limites. J'aime passer du temps dans des librairies ou dans la nature, un endroit calme pour jouer mes compositions ou des partitions. Je m'amuse aussi dès que l'occasion se présente. Je suis compliquée en somme. ETUDES ETUDIEES: littérature anglaise, je vous le disez j'aime le Grande Bretagne.
Dernière édition par Poésy R. Dellhow le Dim 21 Fév - 15:13, édité 6 fois
Sujet: Re: poésy ♠ i gotta feeling, done. Dim 21 Fév - 1:30
BY TSOURI.
Le chemin pouvait parfois tracer des bienfaits dignes des plus grands aspects de paix possible, et d’autres chemins ne faisaient qu’emprunter un avis fortement contraire. La route de l’existence humaine ne se rythme pas seulement qu’à marcher droit devant en levant le visage. Non, la route n’est ni plus ni moins que le cercle perpétuel de la vie semé d’embuches, de conséquences, de douleurs, et de rires, de combats qu’il faut savoir combattre de front sans se cacher derrière ses peurs. Bien plus difficile à dire qu’à faire pour certains qui ne se contente que de leur propre soucis, tandis que d’autres bien plus centrés autour des autres ne cessent de se concentrer sur la protection qu’autrui leur apporte. Tout pouvait être une question de doutes et d’hésitations ou encore de douleurs et de souvenirs facétieux ; ou alors au contraire d’incompréhension. Dans le cas actuel de la situation, ses deux élèves issus de la même génération semblaient bel et bien ne pas vaciller sous l’intensité de leurs regards intense et catégorique - et ce de manière respective -. L’un semblait s’interroger sur la suite que prendrait la tournure des évènements quand à l’autre il restait fidèle a ses habitudes coutumières qui consistaient à dévoiler un visage stoïque et dépourvues de toutes émotions. Ces dernières, la Dellhow n’en connaissait plus la signification depuis fort longtemps et cela n’est pas près de changer dans l’immédiat. Les souffrances savaient de toutes les façons possibles et inimaginables faire grandir l’humain. Dans un sens la théorie du parcours du combattant de Zola avait eu son illustration, et l’identité de Poésy le dépeignait à merveille. Son passé représentait présentement la période la plus fatidique à son existence. Le remord avait gagné du terrain et la difficulté dont elle avait dû faire preuve pour s’en sortir peignait assez bien la comparaison du philosophe ayant couché sur papier l’œuvre de « Germinal ». Zola prétendait que si l’horreur de la vie se traduisait dans chaque vie et que malgré tout l’espoir et la force de s’en sortir persistait, alors l’individu peu importe son rang, son appartenance ou sa divergence faisait de lui un mur de pierre. La pierre était un mot qui scié plus ou moins a cette muse audacieuse qu’on qualifiait la plupart du temps de mystérieuse ou encore complexe. La solitude comme la sociabilité ne l’effrayait aucunement et peu importe les dires des gens sur sa personne, rien ne retenait son attention. L’attention, est une des caractéristiques qui reflétait son intérêt pour une personne autre que ses pensées propres, ses compagnes de toujours. Poésy ne laissait jamais rien paraitre d‘elle-même, au grand damne de certains qui désiraient tant savoir de cette violoniste.
Assise en tailleur sur la scène du conservatoire de la ville du Dublin, la brune aux reflets de cuivre s’adonnait à contempler une énième fois sa partition de Berlioz. Ce compositeur lui avait toujours sourit en chance lorsqu’elle devait passer un examen et pourtant elle se disait que tout cela était dû au hasard. Alors qu’elle tentait de remettre en mémoire les dernières notes, elle entendit une voix quotidienne lui chuchoter à son oreille. « Poésy, regarde sur ta droite Jones n’arrête pas de te regarder, il te dévore des yeux. ». Secouant son visage d’une expression négative, la jeune Dellhow se contenta de répliquer à son amie tout en poursuivant la lecture de ces écrits. « Cesse de faire des montagnes pour rien. Jones est un pauvre type qui ne pense qu’à son sport et au quota de filles qu’il va pouvoir accrocher sur son tableau de chasse. ». Renfrognée sa camarade savait qu’il ne fallait pas aller plus loin lorsqu’elle répondait de cette manière. L’examinateur - celui qui ne cessait de faire des allers-retours sur la scène - usa de sa voix tonitruante et catégorique pour nommer que l’heure de la jeune Poésy venez de sonner. Un temps qui comme d’habitude se déroula à merveille, un instant de bonheur où la véritable adolescente ne se cachait pas derrière ses peurs et ses craintes. Un domaine de prédilection qui faisait d’elle une véritable petite virtuose a part entière. Son archet vint alors à mettre fin à son impartit et elle observa le vieil érudit qui lui servit d’examinateur et ce sous le regard inquisiteur des autres. Un seul mouvement circulaire suffit pour comprendre qu’ils la maudissaient pour sa prestation certainement réussit. Reportant son le bonhomme à lunette qui devait surement avoisiner les soixante ans, Poésy soupira difficilement. « Bien mademoiselle Dellhow, vous pouvez disposer nous vous donnerons les résultats sous peu. ». Un sourire franc et massif accompagnait ses paroles, plutôt rassurant alors. Elle rangea son instrument à cordes dans son étuis et pris son sac en bandoulière qu’elle mit derechef sur son épaule et offrit une œillade encourageante à son amie, avant de pousser la lourde porte du théâtre.
Une bourrasque de vent printanière et quelques froide vint achever sa course dans la chevelure brune de l’adolescente. Frissonnant quelques peu, Poésy se mit en marche pour rentrer chez elle, bien qu’elle n’en avait pas vraiment envie. Difficile pour elle de rentrer au domicile de la figure maternelle qui se remariait encore et encore, sans compter la perte de sa grand-mère, qui l’empêchait de faire un pas dans un métro, elle était ridicule. Minable. Erreur de la nature, sur la terre sans raison. Mettant ses lunettes sur le bout de son nez, elle prit la direction du métro de la ville afin de rentrer. Elle aurait dû prendre son véhicule ou bien son vélo, mais non sa mère avait insistée pour l’accompagner à son examen, un moment durant lequel père et fille ne c’était pas adressés la parole. Une marche de dix minutes suffit à la brune pour descendre dans le souterrain où les bouchons humains étaient fréquents. Dès lors un stress étrange l’envahit de manière immédiate. Elle se sentait compressée comme enfermée dans une male où il elle manquait d’espace. Un bruit de frein crispant retentit alors, lui laissant le souvenir d’un cri de douleur dans l’esprit et les oreilles, celui de sa grand-mère. Les jointures de ses mains blanchirent sur l’étui de son instrument et sans plus attendre elle sortit directement des souterrains, en montant quatre à quatre les escaliers qui la mènerait au dehors. Ses yeux amplis d’eau présentement brillaient sous le soleil d’un moins de mai ensoleillé et calme. Relevant ses lunettes sur le front, Poésy se massa les tempes pour reprendre le contrôle de la situation et se décida à appeler sa demie frangine, de toute façon elle ne voulait pas voir son père. Son ainée de quelques années, ne se fit pas prier et arriva plus vite que prévu, à vrai dire la conduite de sa sœur était plutôt étonnante. Montant dans la voiture, le visage fermé, la cadette considéra Europe d’une moue restreinte en joie. « Tu vas finir par me dire ce qu’il t’arrive ? ». Le ton d’Europe était plus ou moins une affirmation, elle n’était pas dupe de son maigre sourire qui certifiez « je vais bien t’inquiète pas ». Coupant le contact de la voiture, l’ainée des deux toisa d’une œillade affirmée le regard améthyste de la plus jeune. « Tout va bien. ». « Je ne marche pas dans ton délire Poésy, tu devais rentrée avec ta mère et tu m’appelles sur mon portable avec une voix triste et la je te retrouve avec une mine déconfite ! Alors explique-toi ?! Fait confiance aux autres un peu ? ». Une minute de silence s’installa entre les deux membres de la famille, une famille en laquelle Poésy ne pensait plus rien, mais certaines personnes de cette collectivité la rendaient confiante. « Je ne supporte pas ma mère ! ». Europe emprunta alors un rire ironique et quelques secondes plus tard, la dernière de la fratrie se joignait à elle. « Ca se voit très vite que tu ne l’aimes pas, mais si jamais tu as des soucis il faut en parler. ». Se contentant d’hocher la tête, la petite Dellhow répliqua. « A ton avis pourquoi je t’ai appelée toi ?! ». Lui poussant amicalement l’épaule, Europe reprit la conduite de la voiture. « Défis numéro un de la journée Poésy ? ». « Quoi ? ». « Interdiction de sortir par la fenêtre ce soir. ». Plissant le nez d’un air quelques peu dégouté, la violoniste posa sa tête contre la vitre du véhicule. « Parce que je t’emmène avec moi, je sens qu’on va s’amuser. ». Se redressant derechef, le regard interrogateur dans les prunelles, Poésy se demandait ce que sa frangine pouvait bien avoir derrière la tête.
Dernière édition par Poésy R. Dellhow le Dim 21 Fév - 15:11, édité 8 fois
Sujet: Re: poésy ♠ i gotta feeling, done. Dim 21 Fév - 15:24
BORDELOU, t'écris divinement bien Je te valide tout ça avec plaisir. Tu pourras aller compléter ton profil, faire tes scénarios... (BIENVENUE, au fait)