©betty_mraz

CELEBRITE: Katie Cassidy PSEUDO: No Pseudo NOM&PRENOM(S): MCBRIDE, Bamby Cléôpatra. AGE&DATE DE NAISSANCE: 21 y.o, le 11/06 à Londres ORIGINAIRE DE: Londres, ANGLETERRE RÊVE DE: vivre d'amour ETUDIANT(E) EN: Egypte Ancienne

REPONDRE EN BREF
CIGARETTES RUSSES ou JOINTS: Cigarettes Russes
VILLE FETICHE: Le Caire
GRIGRIS, PORTE-BONHEUR: Un chaîne avec un pendentif de danseuse étoile
BOISSON INDISPENSABLE: Vodka !
POUR UNE SOIREE PARFAITE: Un homme qui m'aimerait et du sexe...non simplement de l'amour tout ce que je ne connais pas
SPORT ou SHOPPING: Shopping vu que je ne peux plus pratiquer la danse.
MODEL ou PHOTOGRAPHE: Model
INSTRUMENTS DE MUSIQUE: Guitare accoustique
PASSION, PASSE-TEMPS: Les garçons, la manipulation et la fête.
ETUDES ETUDIEES:Etudiante en Egypte ancienne

Comme tous les matins je rentrais à six heures mais cette fois je n’allais pas pouvoir me plonger tranquillement dans mon lit après avoir aspirer de la coke par le nez toute la soirée et bu de la vodka comme si c’était du petit lait j’avais une chose importante à faire. Me faire avorter. Personne ne devait être au courant, mon père étant chirurgien il avait fallut que je trouve une clinique privée pour ne pas aller dans son hôpital cela l’aurait rendu totalement fou, lui qui assisté impuissant à ma descente aux enfers. Ma descente aux enfers oui car je ne supportais plus ce monde ce n’était plus possible cela rimait toujours à la même chose FRIC, BAISE, FRIC, BAISE et ainsi de suite d’ailleurs c’était à cause de ses deux facteurs que j’étais tombée enceinte. Des bouteilles de vodka en trop que l’on paye à un prix exorbitant dans ses boîtes stupides et ensuite comme on ne se souvient plus de rien cela fini par arriver, un oubli de pillule, de capote et le tour était joué. J’avais donc appelé un taxi pour sept heures trente vu que mon rendez vous était à huit heures. J’en suis ressortie en fin d’après midi avec l’impression que l’on m’avait enlevé une partie de moi mais pourtant il ne voulait pas de moi ce bébé. Une séance shopping était donc de mise.jusqu’à ce que je tombe dans cette petite rue sur ces combinaisons étroitement petite où je n’aurai jamais pu passer mon poignet, c’est alors que je réalisais que c’était un magasin pour bébé. Je m’effondrais sur le macadam ce qui ne fût pas des plus agréables moi qui ne pleurait jamais. J’aperçu alors ses chaussures Berlutti noires, je ne relevais même pas la tête je n’en avais point la force.

« Vous avez besoin d’aide ?! Tenez un mouchoir ! »
« Non ! » mais j’attrapais quand même ce mouchoir blanc, plus aucun homme ne se promenait avec des mouchoirs comme celui là mais lui ci. Je relevais doucement le visage pour voir le sien.
« Vous voulez que je vous ramène ?! »
« NON ! » dis-je sèchement.

Je le vis alors partir avec ses sacs et les mettre dans une GT3, son bruit m’impressionna, il m’impressionna.



Après douze mois d’une osmose parfaite mes vieux démons étaient ressortis plus vivants que jamais. Je l’entraînais dans ma chute sans le vouloir car je ne voulais en aucun cas le détruire. Mais cette soirée là avec trop de coke dans le nez et trop d’effluve de champagne c’était de trop. Nous nous étions garés sur les bandes jaunes de la cità vecchia lui répétant que c’était interdit quand une voiture de police s’arrêta en face de nous. Je remis alors mon étole noir sur mes petits bras maigres.

« Rah merde ! » râla Andréa.

Le flic arriva alors avec sa lumière et mon cher et tendre ouvrit la fenêtre de la Porsh.

« Faut pas rester là ! »
« Oui on aller s’en aller ! »
Comme toujours il fallut que je rajoute mon grain de sel, j’étais encore trop déchirée ce soir là pour me contenir.
« Mais enfin deux minutes parce qu’on est entrain de parler ! » dis-je avec mon air faussement naîf. Le flic me regarda avec un air des plus étonnés comment osais-je dire alors que nous étions en tord, une fois de plus d’ailleurs.

« Vous êtes le propriètaire du véhicule ?! »
« Oui ! »
« Carte grise et assurance. »

Andréa fouilla alors dans la boite à gant qu’il m’ouvrit carrément sur les genoux. Le flic avait peine à croire qu’à vingt quatre ans on pouvait avoir une Porsh GT3. Andréa tendit alors les papiers pendant que je regardais cette scène à laquelle j’avais l’impression de ne pas réellement en faire partie alors je me tourna vers Andréa pendant que le gentil policier jaloux inspecté si les papiers étaient bien en règle. Il revint alors et dit en tendant les papiers à Andréa :

« Tout est en régle. »
« Et ouais dommage ! » dis-je sur ce ton si insolant que je savais si bien prendre.
« Permis ! »
Andréa s’embrouilla alors dans les papiers donnant son permis mais le flic vu tous les papiers qu’il avait dans la boîte à gant et lui ordonna de lui passer ce qu’il exécuta en beauté malgré le fait que celui-ci était totalement défoncé. Il fallait que je m’énerve c’était plus fort que moi, c’était l’effet de la coke.

« Comment on peut être aussi con pour s’arrêter sur les bandes jaunes. Tu lis pas dans les journaux on est dans un état policier ! ». Je savais exactement comment m’y prendre pour l’énerver, comme pour le calmer d’ailleurs mais ce soir je n’en avais pas envie du tout au contraire.
« Ouais mais on en serait pas la si t’avais fermé ta gueule idiote ! » Je sentais alors le venin monter en moi.
« Attends me traite pas d’idiote Andréa, on est plein de coke la bagniole et pleine de coke et en plus c’est des faux papiers ! »
« Mais c’est pas des faux papiers, c’est des vrais seulement y en a un peu trop »
« Me dis pas de me taire Andréa on est au vingt et unième siècle y a des femmes qui ont brûlés leurs soutiens gorges c’est pas que pour trente en après y est des machos comme toi qui nous disent de nous taire ! » Le ton montait et je sentais la coke à plein nez c’était le cas de le dire, ma folie reprenait une fois de plus.
« Mais je t’en pris tais toi, tais toi ! » Dit il pour essayer de me calmer ce qui ne m’énervait que plus.
« Non mais tu recommences ?! Tu entends ce que tu dis ou t’es trop défoncé pour comprendre ! » Je hurlais dans cette voiture et le flic revint alors à notre hauteur.
« Vous avez consommez des stupéfiants ?! »
« Vous vous mêlez pas de cette histoire c’est entre lui et moi pas la peine de prendre sa défense. » Dans ces moments là je voyais le mal partout même dans les gens que j’aimais comme Andréa.
« Test d’alcolémie ! »

Andréa me regarda totalement dépité moi attrapant le paquet de chewm gum et me penchant pour qu’il m’entende.

[color=mediumvioletred]« Chéri…chéri pssst prends un chewm gum il paraît que ça fausse le test. »
Il était déjà partie et lui comme moi savions très bien que son taux était bien trop haut, posément il souffla dans le test quand le policier dit alors :

« Allez on l’embarque ! »
Essayant de calmer le jeu, je dis alors en sortant de la voiture :

« Attendez il a un peu bu ça arrive à tout le monde. »
Un autre flic intervena et me demanda de me calmer ce qui m’énerva de nouveau.
« Attendez attendez parce que ça se trouve que vous aussi vous avez deux ou trois canons dans le nez soufflez dans le ballon pour voir. ! »
« Prends un taxi et rentre à la maison s’teu plaît Bamby. »
[color=mediumvioletred]« Mais certainement pas ! »
Celui qui tenait Andréa demanda à son collégue de fouiller mon sac que je tenais contre moi puisqu’il s’y trouvait de la coke.
« Les femmes ne montrent pas ce qu’elles ont dans leurs sacs. »
C’est alors qu’il trouva le sachet de coke. Je pris alors l’air de la fille qui ne savait rien de tout ça.

« C’est quoi ?! C’est pas à moi. Vous savez plein de personnes m’en veulent je vous jure que c’est pas à moi. Il y a plein de gens qui me détestent vous savez monsieur »
Andréa commençait à rentrer dans la voiture tendit que l’autre essayait de me faire venir avec lui.

« Non mais vous voyez bien que c’est une gamine elle va vous faire chier toute la soirée plus qu’autre chose vous allez vraiment la supporter toute la nuit la petite.. »
« C’est vrai il a raison le petit mets là dans un taxi qu’elle rentre chez elle. »
« Non mais faudrait arrêter de m’appeler le petit »

Je sortis alors de mes gonds.

« Non mais je reste avec lui vous m’avez pris en flagrant délit de possession de stupéfiant. D’accord ? Alors vous m’embarquez ! » Il niait l’évidence. Je me mis alors à genoux, mes pauvres genoux nus sur le sol et lui tendit mes poignets.
« Ah ouais aucun délit ? Connard…sal keuf…nique la police…nique la police…ABATS BLAAIIIIIIR! »

Il m’embarqua alors dans la voiture contente de moi de ne pas quitter l’être que j’aimais sans pourtant lui avouer et ceux même pour une soirée. Pour le meilleure et pour le pire.

Bienveeeeeeeeeeeeeeeeeenue
HAAAAAAAAAAAN COMMENT BAMBY ça va trop bien à Katie

No pseudo. Bienvenue, le prénom est trop coul.