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 you look around me; POESY

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Europe G. Dellhow

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MessageSujet: you look around me; POESY   you look around me; POESY Icon_minitimeLun 22 Fév - 16:27

you look around me; POESY Tumblr_kvg2dqtwKk1qa9mbeo1_500
♫ SUNDAY MORNING, MAROON 5

il n'y a vraiment pas d'heure pour sortir faire les magasins, même quand l'on se sent un peu seule à la recherche de l'idéal, du subliminale, de la chose parfaite. Surtout à Londres il y a le choix, une des capitales de la mode, du lancement des tendances mondiales. Il est à peu près neuf heures, Europe est déjà debout entrain de se cogner partout dans le noir, espérant de pas réveiller celle qui dort encore. Plaçant les mains devant elle, prenant son sac et une veste au passage, elle ouvrit lentement la porte pour se la prendre en pleine tête. Sa journée ? Oui et non, enfin peut-être. Sortant enfin de la chambre, elle arrêta la premier taxi. Oh oui, les fameux taxis qui font pouet pouet à travers toute la capitale. Direction Oxford Street, histoire de changer de vue et de voir du monde dès le matin. Faut savoir que ce quartier est un peu plus que commerciale, merci à ce qui l'auront remarqué. Même si la jeune fille n'aime pas forcément les talons et les robes, rien de mieux pour les yeux que cette rue, bondée du matin au soir, des gens qui se bousculent, dehors ou dedans, des sacs entiers qui se renversent, des voitures qui klaxonnent parce-que les gens traversent comme si de rien était. Plus merveilleux, plus cliché, plus parfait que cette rue, c'est presque impossible. C'est le temple de la mode pour certains.

Il est à présent dix heures sur la montre d'Europe qui se tient sur un banc de fer, un café à la main, les jambes croisées. Elle s'amusent de voir les passants trébuchaient, criaient dans leur téléphone. Dix heures cinq, elle n'a toujours pas bougé mais son regard se fixe sur une petite silhouette menue. La brune croit qu'en déboitant sa tête de son cou, elle va mieux s'apercevoir de qui cela peut-bien être. Mais oui bien sûr, c'est elle de l'autre côté de la rue, avec déjà un paquet à la main et un autre truc noir de l'autre. « hey Poechou, retournes-toi ! » Sans gène, sa voix porta de l'autre côté de la rue, la sourire joyeux et illuminé pendu à ses lèvres. Elle lui fit un grand signe de main pour qu'elle comprenne qui s'était.
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Poésy R. Dellhow

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MessageSujet: Re: you look around me; POESY   you look around me; POESY Icon_minitimeLun 22 Fév - 19:20

On pouvait toujours se dire que faire une chose n’était pas vraiment la meilleure des solutions et puis on pouvait aussi se dire que cette chose vous remonterez le moral. Un moral qui très vraisemblablement ne faisait que glisser d’un parapente. Assise en sur son lit, le dos calé contre un amas d’oreillers en plumes, Poésy s’adonnait à lire un énième article sur le festival du cinéma français. Avec un peu de chance lorsqu’elle s’y rendrait elle pourrait suivre les nombreux pas des grands acteurs européens, et pourquoi pas se trouvait de nouvelles ambitions pour prendre des photos souvenirs. Son colocataire de chambre, qui s’avérait être aussi son ami d’enfance semblait s’attarder lors de son rendez vous avec sa meilleure amie. Tant pis, elle irait prendre un café toute seule, se doutant que sa sœur ainée serait bien trop occupée avec une autre personne. Secouant nonchalamment son visage neutre et enfantin, la douce poursuivit néanmoins ses recherches sur le septième art. Il devait être aux alentours de neuf heures du matin lorsque Poésy entendit son cellulaire sonner sous la musique des Beatles, un refrain beaucoup moins gai qui annonçait un appel de sa mère. La traitresse de son existence, qu’Est-ce qu’elle pouvait la détester celle là alors. Le seul remerciement qu’elle lui fournirait en excuse était la présence de son beau père, et sa demi-frangine qu’elle adorait plus qu’à son tour. Saisissant son téléphone portable, la jeune irlandaise le mit en silencieux et se leva derechef en enfilant sa veste en cuir, enfila ses ballerines, mit son sac en bandoulière et sortit rapidement de la chambre du prestigieux hôtel. Elle soupira et donna un coup de pied dans la porte sa voisine de chambre la toisa d’un regard interrogateur. « Tu deviens folle Poésy ? ». La considérant d’une moue ironiquement moqueuse, la brune aux reflets dorés répliqua d’une voix narquoise bien que neutre. « Pose toi la question à toi-même Penny et ensuite on dialoguera ensemble sur les bienfaits d’une éventuelle séance de thérapie ? ». « Hein ? Je n’ai pas compris ce que tu viens de me dire ? ». Comme d’habitude cette pauvres cruche n’avait rien saisit, ce qui provoqua un léger rire de la part de la violoniste. « Je disais simplement fait attention c’est contagieux ! ». Puis avec une nouvelle énergie soudaine, Poésy descendit jusqu’à la sortie direction la matinée shopping, le tout avec le sourire aux lèvres.

Pour sa part la jeune femme n’était pas ce qu’on pouvait appeler une fan de mode ou devenir un modèle n’était pas dans ses passes temps favoris. Mais elle devait avouer qu’acheter à tout va avec l’argent de sa génitrice la faisait sourire. Si la figure maternelle pensait la récupérer en lui offrant ce qu’elle voulait, et bien sa fille ne le pensait pas du tout. Preuve la dernière fois elle lui avait donné une somme assez importante pour qu’elle puisse s’acheter un scooter. A quoi bon avoir un engin a deux roues alors qu’elle possédait déjà une voiture ? C’était d’un ridicule consommé. Et pour ne pas faire un placement, Poésy c’était contentée de verser la somme à une œuvre de charité. En repensant à ce souvenir pas si lointain que cela, l’adolescente se mit à rire. Le monde ne tournait pas toujours rond, mais parfois en rire était plus logique. Elle avait passait plus d’une demie heure dans un des nombreux magasins d’Oxford Street et résultat elle c’était acheté une nouvelles paire de converse. Après tout la connaissant cela ne surprendrait personne ou presque, elle en faisait la collection à force de temps. Toisant d’une œillade rapide l’heure exacte qu’affichait sa montre, la mystérieuse muse de décida à passer à la suite de l’opération, à savoir les disquaires. Ecouteurs sur les oreilles, Ipod en marche, elle marchait tranquillement en prenant soin d’éviter les coins bondés du métro. Pouf. Son sac glissa de son épaule, et bien sur elle se baissa à terre pour le ramasser. C’est alors qu’elle remarqua des bras s’élever dans sa direction, fronçant légèrement les sourcils se mit à reconnaitre sa frangine. « Hey Poechou, retournes toi ! ». Elle n’était pas maladroite, ni folle. Pressant ses pas vers l’endroit où siégeait Europe, la Dellhow laissa apparaitre un sourire sincère aux commissures de ses lèvres. « Ca alors, je suis contente de te voir ici ! Mais évite le Poechou … ». Elle gratifia Europe d’une légère grimace et sourit.

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